("ah.. enfin rentré, je suis crevée.... je vais me faire une tisane puis continuer a bosser.")
(" j'ai pas d'inspiration... regardons par la fenêtre ce qu'il se passe dans le parc, ça m'aidera peut-être")
*après quelque minutes*
("voilà quelqu'un qui m'as l'air intéressant, du genre positive je suppose, observons !
voilà quelqu'un d'autre, si seulement je pouvais savoir ce qu'elles se disent....
elles ont l'air de se disputer, oh l'arc en ciel s'enfuit a toute jambes ! mais, elles pleurent !
arc en ciel semble ne pas vouloir montrer ses faiblesse a l'écureuil, ça ressemble à une rupture...
je me demande si écureuil va rester longtemps a se morfondre ici...
ah j'ai plus de tisane, je vais aller me faire un thé")
*après quelque minutes*
("voilà quelqu'un qui m'as l'air intéressant, du genre positive je suppose, observons !
voilà quelqu'un d'autre, si seulement je pouvais savoir ce qu'elles se disent....
elles ont l'air de se disputer, oh l'arc en ciel s'enfuit a toute jambes ! mais, elles pleurent !
arc en ciel semble ne pas vouloir montrer ses faiblesse a l'écureuil, ça ressemble à une rupture...
je me demande si écureuil va rester longtemps a se morfondre ici...
ah j'ai plus de tisane, je vais aller me faire un thé")
Un petit bruit, comme un chat se frottant à un tapis, se fait entendre. Puis une voix retentit dans l'appartement:
"Quelle magnifique bibliothèque, et quelle délicieuse odeur ! Tu prépares un thé ?"
"Quelle magnifique bibliothèque, et quelle délicieuse odeur ! Tu prépares un thé ?"
je me retourne précipitamment, chuchotant "elle ne vient pas de ma tête cette voix....."
me dirigeant vers le salon j'adresse à mon invité un sourire chaleureux, un couteau dans le dos.... :
"bonjour monsieur, il me semblait avoir fermé, comment êtes vous entré ? vous avez besoin de quelque chose je peux vous aidez ?"
me dirigeant vers le salon j'adresse à mon invité un sourire chaleureux, un couteau dans le dos.... :
"bonjour monsieur, il me semblait avoir fermé, comment êtes vous entré ? vous avez besoin de quelque chose je peux vous aidez ?"
Au centre de la pièce, admirant les étagères de livres, se tient un jeune homme aux cheveux noirs plaqués en arrière. Habillé d'un pantalon noir, d'une chemise blanche et d'un veston noir, les seules trace de couleurs sont ses deux grands yeux verts, qui se tournent vers l'arrivante.
-Oh ! Excusez-moi, je ne voulais pas déranger. Je peux revenir plus tard si vous voulez.
-Oh ! Excusez-moi, je ne voulais pas déranger. Je peux revenir plus tard si vous voulez.
Je coince l'arme dans mon jogging de sorte à avoir mes deux mains libres.
-Nul besoin puisque que vous êtes maintenant, dieu ne sait comment arrivé là. Dites moi plutôt que me vaut votre présence chez moi je vous en pris.
-Nul besoin puisque que vous êtes maintenant, dieu ne sait comment arrivé là. Dites moi plutôt que me vaut votre présence chez moi je vous en pris.
Un sourire se dessine sur les fines lèvres.
-Je vous propose de commencer par nous asseoir, car ce que j'ai à vous dire dépasse de loin l'entendement humain. Et malgré votre imposante bibliothèque, j'ai peur que même vous n'ayez fait qu'effleurer le problème.
-Je vous propose de commencer par nous asseoir, car ce que j'ai à vous dire dépasse de loin l'entendement humain. Et malgré votre imposante bibliothèque, j'ai peur que même vous n'ayez fait qu'effleurer le problème.
Soudainement intéressé par l'étrange tournure que prend les choses j'invite donc mon mystérieux invité à s'asseoir
-Dans ce cas je vous écoute.
-Dans ce cas je vous écoute.
-Vous êtes bien aimable.
Et tandis qu'il se laisse tomber sur le premier pouf à portée, il commence son récit:
-Disons que pour commencer, je ne suis pas Morpheus, venu vous révéler que tout votre monde n'est qu'un mensonge. Tout ce qui vous entoure est bien réel, mais la réalité est ben plus que cela. Je sais que vous portez un certain intérêt aux contes, et je suppose que vous avez remarqué que certaines choses ne collent pas dans les versions les plus archaïques, des coutumes évoquées n'ayant jamais existé, des description anatomique beaucoup trop précises, des références à des lieux inventés très récurrentes.... Même si tous ces détails ont disparu avec le temps, j'ai pu apercevoir chez vous des recueil de ces anciennes légendes si mystérieuses.
Il laisse planer un petit silence, puis reprend.
-L'explication, est qu'il existe une autre dimension, un autre monde où ont voyagé ces conteurs, un monde des contes.
Et tandis qu'il se laisse tomber sur le premier pouf à portée, il commence son récit:
-Disons que pour commencer, je ne suis pas Morpheus, venu vous révéler que tout votre monde n'est qu'un mensonge. Tout ce qui vous entoure est bien réel, mais la réalité est ben plus que cela. Je sais que vous portez un certain intérêt aux contes, et je suppose que vous avez remarqué que certaines choses ne collent pas dans les versions les plus archaïques, des coutumes évoquées n'ayant jamais existé, des description anatomique beaucoup trop précises, des références à des lieux inventés très récurrentes.... Même si tous ces détails ont disparu avec le temps, j'ai pu apercevoir chez vous des recueil de ces anciennes légendes si mystérieuses.
Il laisse planer un petit silence, puis reprend.
-L'explication, est qu'il existe une autre dimension, un autre monde où ont voyagé ces conteurs, un monde des contes.
Écoutant d'un air sérieux je me laisse prendre au jeu :
-C'est plutôt surprenant ce que vous me contez là, je ne suis pas spécialement amatrice des trou de vers ou autre phénomène spatiale pouvant éventuellement mené à une dimension différentes de la notre, mais si cela devrait exister la première chose à laquelle le commun des mortels penserait ne serait certainement pas un monde de contes. Cependant il reste tout de même une choses qui me tracasse, me faisant sérieusement douter de ma perception de la réalité; comment diable êtes vous arrivé dans mon salon en premier lieu ?
-C'est plutôt surprenant ce que vous me contez là, je ne suis pas spécialement amatrice des trou de vers ou autre phénomène spatiale pouvant éventuellement mené à une dimension différentes de la notre, mais si cela devrait exister la première chose à laquelle le commun des mortels penserait ne serait certainement pas un monde de contes. Cependant il reste tout de même une choses qui me tracasse, me faisant sérieusement douter de ma perception de la réalité; comment diable êtes vous arrivé dans mon salon en premier lieu ?
Alors qu'un léger sourire flotte sur ses lèvres, il continue d'un air sérieux :
-Je ne sais pas ce que sont ces "trous de vers", et je ne crois pas avoir évoqué l'espace, mais vous êtes sûrement plus au fait que moi de ces sujets. Et je dois avouer que moi-même je ne saurais dire si le monde des contes et celui-ci sont les seules dimensions existantes, même si j'ai des doutes à ce sujet.
Il se penche en avant, et continue.
-Quand à mon arrivée ici, il m'est difficile de l'expliquer par des mots. Que diriez-vous d'une démonstration ?
-Je ne sais pas ce que sont ces "trous de vers", et je ne crois pas avoir évoqué l'espace, mais vous êtes sûrement plus au fait que moi de ces sujets. Et je dois avouer que moi-même je ne saurais dire si le monde des contes et celui-ci sont les seules dimensions existantes, même si j'ai des doutes à ce sujet.
Il se penche en avant, et continue.
-Quand à mon arrivée ici, il m'est difficile de l'expliquer par des mots. Que diriez-vous d'une démonstration ?
Après quelques secondes de réflexion, j'opte pour la démonstration :
-Je veux bien si cela ne risque rien.
-Je veux bien si cela ne risque rien.
Un large sourire se dessine sur son visage :
-C'est vrai ? Cool !
Il attrape la main de son interlocutrice et l'instant d'après, le silence revient dans l'appartement désert.
-C'est vrai ? Cool !
Il attrape la main de son interlocutrice et l'instant d'après, le silence revient dans l'appartement désert.